En 1661, les religieux de Saint-Jean-de Dieux sont sollicités pour assurer le service médical et la gestion de l’Hôpital.
En 1681, ils fondent sur un terrain attenant l’Hôpital-couvent de la Charité, (figuré en rose). En 1694, ils concluent avec l’Intendant général du Dauphiné une convention par laquelle ils s’engagent à recevoir des malades militaires.
Les religieuses hospitalières de la Palisse engagées en 1666, s’installent sur une partie distincte de fondent l’Hôpital Sainte-Marthe, destiné aux femmes malades) (figuré en jaune).
La loi révolutionnaire du 2 septembre 1792 impose la suppression des ordres religieux dans les hôpitaux : ceci a pour effet de réunir les trois établissements au sein de l’Hôpital Hospice de Grenoble.
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- Article paru dans Le Dauphiné Courrier des eaux thermales, le dimanche 30 octobre 1864 Télécharger le document